À l’occasion du projet « Grandeur Nature », j’ai réalisé un projet qui porte sur la pollution lumineuse artificielle et ses conséquences sur la faune. Énigmatique et mystérieuse, l’installation in situ se trouve dans le Parc Heyritz de Strasbourg et s’observe de jour comme de nuit. L’intention est de représenter les flux et les mouvements qu’occasionnent les lumières nocturnes sur la faune. Pour cela, j’investis trois lampadaires, côte à
côte. L’installation attire le regard sur des mots et des signes représentant ces flux qui s’adaptent à trois phénomènes : l’attirance, la répulsion et la désorientation.
côte. L’installation attire le regard sur des mots et des signes représentant ces flux qui s’adaptent à trois phénomènes : l’attirance, la répulsion et la désorientation.


À la nuit tombée, lorsque les lampadaires du parc s’illuminent, les faisceaux de lumière sur le sol donnent la clef de lecture du projet. Ainsi, chaque lampandaire se voit attribuer un phénomène nuisant à la bonne santé des animaux la nuit. À l’aide d’un QR code, les passants pourront, s’ils le veulent, en apprendre plus sur l’installation et sur les conséquences de la pollution lumineuse sur la faune.
Installation
Création typographique pour l’installation

Recherches et expérimentations








